le jeux top sadique !!!

Venez jouer a top sadique
les règles son simple. je donne une série de mot et celui qui me fais le mini texte le plus sadique avec ses mot gagne
des point bourrins .le gagnant du cycle qui aura le plus de point bourrin aura automatiquement un 19/20 en blagues

bonne chance

1ere serie de mot le 29 novenbre a 10h

ps: pour tou renseignement envoyer un M.P

il était une fois un petit enfant se rendant bien gentiment à l'école, quand soudain, un grand monsieur vêtu d'un imperméable jaune aux armes TK forever lui dit qu'il a des bonbons au citron pour lui dans sa maison.
avec l'ignorance et la pureté d'esprit qui est propre à cet âge tendre, le jeune bambin suit le grand monsieur à l'imper jusque dans un petit bois, là, notre homme ne se sent pas de joie, il ouvre largement son par dessus, laissant ainsi voir son slip panthère de chez seniorissimo et son unique tétons percé de deux aiguilles à tricoter.
le petit garçon hurle et tente de s'enfuir, mais pèrvère pépère ( car c'est son nom) le retiens pas le bras et le plante à un arbre avec ses aiguilles de tétons au niveau des poignets.
le petit jeau-mouloud (car c'est son nom) est horrifié car PP lui a redressé la tête et remplit ses yeux de jus de citron.
notre héros (PP) à l'aide d'un couteau de modèlisme (car un gars aussi sympa ne peut être qu'un hobyiste) coupe délicatement les petits muscles qui attaches les yeux aux orbites, s'amusant des protestation appuyées du petit JM.
les nerfs optiques tranchés, notre homme fait rouler les yeux dans du sucre glace habilement dissimulé sous son imperméable ( à l'asile c'est ni couteau ni sucre ni vaseline) et, s'appuyant d'un "c'est génial, j'adore ce jeux" de circonstance, enfourne les bonbons maisons (parfum citron") dans le gosier du chérubin.
la petite tête blonde bronzée mais mignonne à croquer mâche quelques secondes, avale, se lèche les babines car le sang de ses yeux a atteins ses lèvres (vous avez vu desperados 2, n'est-ce pas ? éh bien ça faisait le même effet) et lance un (tout aussi bien de circonstance);
"ze suis désus, ze croyait qu'on allait ssez vous..."
ah, ces enfants !

"On va jouer à un jeux", déclara joyeusement le maître d'école.
L'expression horrifiée de l'enfant à qui il avait adressé cette parole trahissait sa couardise. Il était accroché au tableau avec des chaînes pour y recevoir sa sentence. En effet, il avait énervé son instituteur en lui plantant "malencontreusement" une aiguille dans le dos, juste "pour le fun" (il est à signaler cependant que le professeur avait gémi de plaisir). Désormais, et depuis qu'il avait été dénoncé, il attendait, accroché. Il faisait maintenant nuit, et ses bras lui faisaient mal. Ils ne lui faisaient pas mal en raison de la fatigue, mais plutôt à cause des traces qu'il y portait. Il faut préciser que, une heure plus tôt, l'instituteur lui avait arraché avec l'aiguille chaque centimètre carré de peau de son bras droit, avant de le racler avec sa règle enbois (généreusement garnie d'échardes) et d'y verser du jus de citron...

Voilà; à vous d'imaginer le jeu du maître...

merci aux gros sadiques
hemos:
voici tes points bourrins grâce a ton petit JM j'espère qu'il existe
inquisiteur ivan
niark niark niark
moi aussi j'ai envie de jouer

continuer j'étais en train de baver de plaisir

2ème série de mot le 06/12 a 09h

George préparait ses instruments de travail.
Le jour George était instituteur (maître d'école, diraient les mioches) et instruisait tous ses petits élèves comme un bon instituteur le devait faire. Mais la nuit...
Quand il était chez lui, George ne s'embarrassait plus avec l'humanité qu'il était obligé de présenter en société. C'était le genre de personne qui était discret mais dangereux, qui allait sur Internet pour capturer des petites mineures, ce genre de choses...
Son passe-temps préféré, il le nommait : "le Grand Jeu".
George était en effet un grand fan de la série de films d'horreur Saw.
Il s'efforçait de suivre l'exemple de ces films, avec difficulté toutefois. Quelquefois, il perdait.
Il devait alors passer ses nerfs sur une petite victime.
C'était ce qu'il était en train de faire en ce moment même.
Aleksandre était solidement accroché au chevalet en fonte, dans la cave de George. A côté de lui se trouvaient le plateau de couteaux, d'aiguilles et d'autres instrument qu'il était en train d'astiquer puis de lubrifier avec du jus de citron (très agréable, ça facilite la glisse des couteaux et les hurlements des soumis). Le jeune enfant n'avait plus de peau depuis longtemps, et son tourmenteur était sur le point de lui retirer ses couches externes de graisse et ses muscles. George avait en effet besoin de se documenter pour le cours de Biologie qu'il allait devoir préparer pour la semaine suivante.
Aleksandre était toujours vif.
Et il n'était pas anéstésié.

@u vil gueux : heureusement que mon cousin ne va plus sur le forum... Sinon, ce George, c'est qui ? George Bousbassi ?

Non, c'est George, ne cherche pas à comprendre, il n'y a aucune référence à un quelconque réel, je ne veux pas avoir à donner de taxes ><

George... Prénom venant du grec Γεώργιος et signifiant "celui qui travaille la terre"...

faut pas parler de terre, je fais regain, avec mon tata...

bon un vil gueux on va te donnez dison
ta réussi a m'embrouiller avec cette histoire de george mais c'est pas mal

voici la 2eme série

cuillère a soupe ,femme enceinte ,dynamite,tronçonneuse et papa

bonne chance

j'ai corrigé tes nombreuses fautes...

il était une fois une dame comme il faut qui s'appelait... Camille, cette jeune femme enceinte depuis six mois, mais toujours active et aimante envers son époux, disons... Tahlmi aimait à porter une écharpe rouge les jours de gaieté et une verte les jour sans...
un beau matin, tahlmi s'était réveillé tôt pour faire une surprise à sa moitié; un petit déjeuner au lit, elle les avait toujours adorés !
le futur papa était en train de verser du Neskwok(marque déposée) dans une casserole de lait bouillant à l'aide d'une cuillère à soupe quand soudain, et avec la perfidie propre au beau sesque, kametle entra dans la cuisine silencieusement.
"bouh"
Talhmi sursauta, et laissa choir l'objet métallique qu'il magnait avec tant d'abnégation une seconde auparavant.
il reprit son calme en un instant à la vue de sa chère et tendre en nuisette pourpre, la douce lumière matinal faisant ressortir la charmante rondeur avec des notes d'orange et de jaune
il l'embrassa tendrement, se baissa pour ramasser la cuillère et sourit en sentant la croupe flattée, le sang afflua vers... ses joues.
il se redressa et alla laver la cuillère, quelle ne fut pas sa surprise quand il vit par la fenêtre sa vieille voisine de 80 ans marchant vaillamment dans la rue, elle ne se levait jamais à cette heure ! il ouvrir la fenêtre et cria : "bonjours madame Martin"
la petite femme voulu tourner la tête et ainsi voir qui la hélait de la sorte, mais elle avait oublié la présence gênante de sa minerve qu'elle portait du fait de son torticolis causé par les coups d'œil trop fréquents à joseph, un petit jeune d'à peine 70 printemps durand les parties de Scrabble, omission certainement due à un Eizeimer foudroyant diagnostiqué par un médecin alcoolique et dépressif qui n'avait pas joué au docteur avec sa femme depuis que sa belle mère était venue s'installer chez lui.
donc, pour apercevoir Tahlmi, elle du tourner non pas sa tête, mais son bassin, ce qui la déséquilibra affreusement, elle glissa, effectua un saut périlleux avec double vrille et un carpé digne des plus jeunes et désirables gymnastes, et retomba sur sa canne discount qui s'enfonça dans son rectum jusqu'à la garde.
notre philatéliste confirmé trois fois toque de platine pour sa fameuse recette de cassoulet que tout le quartier lui envie eut un crie arraché à la vue de cet horrible spectacle, il se redressa dans l'intention de secourir la femme qui parfois l'avais gardé étant petit (pour se soustraire à la vue de son maris encore vivant à l'époque, ne voulant pas être surprise en train de s'envoyer toute la réserve de Crément du Jura), mais il avait passé la tête par la fenêtre et se cogna au pots de fleurs qui étaient suspendus au dessus de celle-çi.
il n'eut pas le loisir de retirer sa tête et reçut avec une préparation mentale préalable toute relative les géraniums de sa tatie Hugette offerts lors d'un anniversaire humide en pleine poire (comme on dit vulgairement).
le sang coulait à présent d'une plaie béante, Tahlmi tituba et se raccrocha au lavabo, Camille qui avait assisté autant à la scène de pénétration anale qu'à celle de la vengeance postum d'une vieille accariatre qui n'avait jamais pu l'encadrer et qui n'avait jamais offert que des plantes pourries aussi bien à Noel que pour les enterrements, accouru vers son maris pour faire "lebisousurleboboévoilasavapamieumaintenant".
tata comme aimait l'appeler ses collège contables en raison de ses ongles de pieds toujours impeccablements vernis, entendant sa femme arriver, attrapa la cuillère encore sale et l'enfonça dans l'œil de camille qui fut aussitôt éjecté avec un "plop" sonore.
la petite idiote bêtement engrossée (ce qui avait en fait été la cause du mariage) à l'occasion d'une soirée bien arrosée hurla de douleur et tomba à la renverse, se faisant, sa nuque heurta le coin de la table Hikéa, ce qui la rendit tétraplégique et fit sortir trois vertèbres disloquées de leur emplacement originel (constat qui aurait pu devenir gênant si Camille avait vécu).
Tahlmi brandit sa cuillère et frappa le ventre gonflé, il enfila sa main dans l'ouverture ainsi pratiqué et dit bonjours au bébé à sa manière, incroyable la fragilité des os à cet age là...
il sortit sa main devenue écarlate et se mit à la recherche d'un objet bien précis, un bâton de dynamite chiquer par son grand oncle à ces salopards de schleus durand la grande guerre.
il fit quelques pas dans la cuisine dallé, s'arrêta et défonça un carreau bien précis à coups de pantoufle : il était là, ha ce vieux tonton Rachy, quel dommage qu'il soit mort écrasé pas un satellite russe défectueux en sortant acheter son journal...
Tahlmi, l'explosif à la main, alla vers la cuisinière et alluma la mèche à l'aide du feu qui faisait toujours bouillir le lait.
il retourna auprès de sa femme, arracha la nuitsette totalement détrempés et enfourna le bâton au plus profond de son intimité.
il se releva et se mit à rire sans discontinuer jusqu'à ce que la mèche soit totalement consumée.
Mr morland était un homme respectable, il entretenait son jardin avec la même ferveur que se défunte épouse, aujourd'hui, il taillait sa haie à l'aide d'une sorte de tronçonneuse, il se passait un sacré merdier dehors, cette grande explosion, et tous ces gens qui étaient accourus.
il serra plus fort la poignée de son taille haie et un sourire s'afficha sur son visage.
"quel amateur !"

@ Hémosse : tiens, c'est bizarre, tu l'as appelée Camille...


Moi mon papa il est sympa... Un jour, il a bourré de dynamite avec une cuillère à soupe une tronçonneuse et il l'a balancée allumée sur une femme enceinte... Et le bébé qui est sorti, c'était moi ! Alors j'ai pris la tronçonneuse, et j'ai fini de massacrer la femme agonisante avant de boire le sang et de tout faire sauter à la dynamite !

en effet, mais aucun rapport avec une fille que j'aurais aimé à en crever pendant une année ou à mon prof de français...
enfin, je crois, j'espère...
((il y a une raison à tout))
ta goule subconscient !

@I.I tes histoires sont assez minimalistes !!!
ça fait étrange à coté de mon style pérecien...

Rashda Klehwtash était un voïvode très respecté du Territoire du Sud de Commoragh. En effet, sa cruauté était sans grande égale et il aurait pû être le plus puissant eldar de la ville, si Asdrubael Vect, maudit soit-il, ne l'était pas déjà. Il était très connu pour son impulsivité et ses pulsions étaient souvent meurtrières. Ce qui n'était pas le cas pour l'instant. Rashda entra dans l'immense pièce qui lui servait de harem. L'incube de garde était en train de se restaurer et quand Rashda toussota dans son dos, il sursauta en lâchant sa cuillère à soupe et se tint droit. Si cet incube aurait été une toute autre personne, Rashda aurait sur-le-champ dégainé sa vouge tronçonneuse et aurait décoré les murs de la pièce avec ses entrailles, mais le dénommé Methnek'tan avait un père très influent. C'était le céraste qui dirigeait la grande arène Phwlthezz et un proche ami de tous les membres de la cabale Klehwtash. Rashda se contenta donc de transpercer Methnek'tan du regard. La famille, quel handicap... Lui-même avait perdu son père le jour où ce dernier avait révélé à tout Commoragh qu'il l'appelait encore "papa". Le soir même, l'ainé des Klehwtash s'était retrouvé séparé de ses membres par la caresse du scalpel, puis bourré de dynamite par tous les orifices. C'était Rashda qui avait lui-même allumé la mèche.
-Methnek'tan ! Au rapport !
-Peu de choses se sont passés depuis votre dernière visite, Seigneur Klehwtash, étant donné qu'elle s'est passé il y a à peine une heure. J'ai juste appris que l'esclave humaine cinq-cent dix-sept est tombée enceinte par vos bons soins...
-A quoi peut bien servir une femme enceinte dans un harem ? Donnes-la aux tourmenteurs.
-Seigneur voïvode, étant donné que vous avez plus d'un millier de femelles parquées ici, elle peut avoir le temps d'accoucher avant que vous n'ayez encore besoin d'elle, non ?
-Voudrais-tu donc discuter de mes ordres ? Comme tu le dit si bien, j'ai plus d'un millier d'esclaves, alors une de plus ou de moins...
-Bien, seigneur.
Satisfait, Rashda avança dans la salle. Il parcourut les visages des femelles de diverses races du regard. Celle-ci, dans le fond. Il n'y avait pas encore goûté.
Rashda s'avança vers la femme :
-Toi !
Elle le suivit hors de la salle, obéissante.

Pourquoi écrire trois pages alors qu'on peut écrire deux lignes ? Non, je ne suis pas passionné par le style imposé... Je préfère la liberté (que veux-tu, je suis un Loup...). Même dans mes synthèses d'histoire je glisse des procédés de style qui font un peu moins sérieux que ce qui est demandé, et mes conclusions ressemblent à des nouvelles...

il faut reduire le texte sinon voici le nouveau

professeur_acide_petite fille_raton laveur_moissonneuse batteuse _couteaux de modelisme

bonne chance

Pour les nouvelles séries de mots, évite de faire des nouveaux sujets.

Humm... quel judicieux choix de mots je sens que je vais m'amuser...

hem...

petite fille...
-Non, tu ne m'appelleras plus comme ça !
petite...
-Tu le regretteras le peu de temps qu'il te reste à vivre...
Laure-Anne était en train de parler toute seule. A moins que l'on puisse imaginer qu'un tas de chair froide pouvait être un interlocuteur valable. Quoique... le tas de viande en question était encore en vie.
Et il hurlait de douleur.
La victime de Laure-Anne se nommait M. Raton. Ce qui expliquait le surnom que lui donnait tout le monde : raton laveur. M. Raton était professeur de collège, et Laure-Anne était une de ses élèves. Malheureusement, il avait la grossière habitude d'appeler ses élèves : petite fille.
Et Laure-Anne souffrait d'un complexe d'infériorité.
Laure-Anne était une jeune fille ordinaire, si l'on omettait la dizaine de problèmes psychologiques dont elle était affligée. Il faut dire que Laure-Anne n'avait pas eu une enfance facile. Fille d'un médecin qui aidait les autres à se suicider, sans leur demander leur avis et qui n'était la plupart du temps pas à la maison pour s'occuper d'elle, elle avait dû se débrouiller seule très tôt. Et personne ne lui avait appris ce qu'il ne fallait pas faire sous peine d'être considérée comme psychopate. D'autant plus que sa mère était morte quand Laure-Anne avait deux ans. Elle était vétérinaire et travaillait dans un zoo. Son seul problème était qu'elle était... attirée par les crocodiles. Un soir, la mère de Laure-Anne n'était pas rentrée, et Laure-Anne avait dû se sustenter avec une victime fraîche de son père. Le lendemain matin, tous les journaux avaient en première page : "la sauriennophile saute dans la fosse".
Mais revenons à notre histoire, maintenant que vous connaissez les personnages.
Laure-Anne, donc, jeune fille non élevée, détestait M. Raton parce qu'il portait atteinte à son complexe d'infériorité. Le pauvre...
-Alors, comment va le raton laveur ? il ne vas pas bien ? remarquez, je le comprend... le raton laveur s'est retrouvée au milieu du champ au mauvais moment. Et la moissonneuse-batteuse est passée...
Je dois vous révéler que Laure-Anne se faisait un petit film, en ce moment. En fait de moissonneuse, c'était les lames acérées d'une vingtaine de couteaux de modélisme qui étaient passées sur le corps de M. Raton. Puis le professeur avait été trempé dans des bains d'acide de moins en moins dilués et de plus en plus forts. La dernière trouvaille de Laure-Anne avait été de lui apporter des petits animaux nécrophages ou carnivores. Des scarabées, fourmis, rats...

Laure-Anne eut un rictus malfaisant. Elle plaçât une main sur le bouche ensanglantée de M. Raton pour le faire taire et lui sussura à l'oreille :
-Regardez, professeur. Je vous ai amené un nouvel ami. Il est très doux et plutôt mignon. Il a très faim, je l'ai fait jeûner pendant deux semaines. Mais attention ! Il ne faudra pas lui donner n'importe quoi à manger ! Il ne se nourrit que de viande bien propre...

Laure-Anne jeta un seau d'eau fraîche sur M. Raton. Puis elle ouvrit la porte d'une petite cage, dans un coin de la salle. Une chose grise en sortit à toute vitesse et bondit sur le professeur.
Un raton laveur.

bon derniere serie de mot avant le grand vaiqueur de ce tournoi

laurent-sbah-manu-cyril-ivan

Il faisait nuit noire, dans une ruelle sombre...
Soudain, une voix forte se fit entendre :
"-Sbah, derrière toi !"
Mais Sbah n'eut pas le temps de réagir. Il s'effondra simplement, au milieu d'une flaque rouge. A la place de ce qui était sa tête quelques instants auparavant, il ne restait plus rien d'autre qu'une brume rouge. Derrière Sbah se trouvait Cyril, bolter en main, l'air à moitié cinglé.
"-Venez rejoindre la Fraternité des peintres de la malice, ou vous finirez comme votre ami, mouahhaahah..."
Mais Manu ne lui laissa pas cette chance. D'un claquement de doigts, il fit pousser des oreilles de lapin à Cyril, et dans un éclat de rire, les transforma en serpent qui se mirent à mordre avec violence leur malheureuse victime, jusqu'à ce qu'elle s'écroule, morte. Mais malgré ce succès remarquable, quelquechose n'allait pas. Ça sentait le brûlé. Manu se pencha. Il s'aperçut avec horreur qu'il avait pris feu.
"-Foutus démons ! J'ai foiré mon pouvoir ! Laurent, aide-moi !"
Laurent ne réagit pas. Au contraire, il se mit à éclater de rire, chanter des chansons paillardes et se foutre de la goule de Manu. Lorsqu'il eut assez rit, il acheva son camarade d'une décharge de laser bien sentie, puis joua un peu avec le cadavre. Il joua jusqu'au moment où il aperçut une grande ombre devant lui. Sans lever la tête, il devina ce dont il sagissait. A la forme massive et la goule garnie de crocs dont il voyait les ombres, il comprit qu'il avait un démon majeur en face de lui, probablement celui qu'ils traquaient depuis des semaines. Il arma son pistolet laser, se prépara à vaincre ou périr et se redressa, faisant de son mieux pour paraître le plus impressionnant possible. Il contempla alors son adversaire et reconnut un... drakkar viking.
"-C'est quoi ce bordel ?!"
Mais avant qu'il n'ait pu réagir, une douzaine de berserkir débarquèrent et lui passèrent sur le corps en poussant des cris de bourrins, le premier le décapitant sans même lui prêter attention.

"-Mais c'était quoi cette aventure pourrie ? Un drakkar au 41ème millénaire ? N'importe quoi..."
En réalité, cette aventure n'avait rien de pourri. Ni de bizarre, d'ailleurs. C'est simplement que son maître de jeu était Ivan.

Peuh ! t'as écrit drakkar !!!
Ca me déçoit venant de toi, Ivan

Judicieux choix de mots, je sens que je vais m'amuser...
Le premier nom cité sera toujours celui de la victime, je pense. ^^

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Elle s'appelait Léa, et elle exerçait le métier de prostituée de luxe.
Elle avait reçu le matin un appel d'un homme qui lui avait proposé un plan à six. En récompense, il lui avait été promis une importante rétribution. L'homme disait s'appeler Laurent, il lui avait donné une heure et une adresse.
Elle avait accepté.

-Bonjour, fit l'homme en lui ouvrant la porte. Je suis Laurent. Vous êtes Léa, c'est ça ? Entrez, je vous en prie...
L'homme semblait extrêmement calme et exalté à la fois. Elle chercha ce qui la troublait et ne le remarqua qu'au bout d'un long moment : Il ne la regardait pas. Pas la moindre lueur de gourmandise dans ses yeux les rares fois où son regard s'attardait sur son corps.
-Vous semblez soucieuse... Vous voulez peut-être que je vous paye avant... l'acte ?
-Non, non. Merci. Je pensais à une amie qui a des problèmes en ce moment, mentit-elle.
-Hmm... Tenez, nous arrivons. Je vais vous présenter les quatre autres.
Ils arrivèrent dans la chambre. Simple, dépourvu d'ornements. Le seul mobilier était un lit et une table de nuit sur laquelle était posée une lampe.
Quatre homme attendaient, appuyés contre le mur.
Le premier était grand, très grand. Ses longs cheveux blonds lui tomaient dans le bas du dos et il portait une barbe soyeuse, tressée, et dont les ramifications étaient passées dans des anneaux d'argent ou d'or. Il l'observait du haut de ses deux mètres avec un lueur de mépris dans les yeux. Ces yeux étaient bleus, froid. Ils la transperçaient et l'oppressaient. Un regard assassin.
Léa eut un frisson
-Voici Ivan, fit Laurent.
L'homme fit un léger signe de tête et leva un bras. Sa main droite était atrophiée et une cicatrice courait le long de son bras.
Le regard de Léa glissa précipitamment vers le voisin d'Ivan. Il était un peu moins grand mais plus corpulent. Elle n'aurait pas pu dire si c'était du fait de sa musculature ou de son obésité. Sa chevelure brune était aussi longue que celle de l'autre. Il fixait obstinément sa poitrine et elle eut un sourire.
-Celui-ci, c'est Emmanuel. Appelez-le Manu...
Le troisième était aussi grand que le premier mais plus mince. Sa peau sombre tranchait avec la blancheur de ses dents, dont il testait la pointe du bout de sa langue. Celui-ci la regardait étrangement ; au bout d'un temps, elle se rendit compte qu'il semblait avoir faim.
-Sbah, fit-il d'une voix profonde. Et l'autre c'est Cyril.
Le susdit Cyril la regardait d'une manière plus grossière encore que Manu. Il portait des lunettes et était boutonneux. Il avait malgré cela un certain charme. Elle s'essaya à lui sourire mais il ne le vit pas, étant trop occupé à suivre les courbes de son corps.
Ivan parla :
-Bien, nous pouvons commencer.
Léa s'étendit sur le lit en tendant ses bras le long de la tête de lit. Laurent et Manu montèrent de chaque côté et lui attachèrent les poignets au montants. Puis ils se relevèrent.
Léa douta. Quelque chose n'allait pas... Peut-être était-ce dû à la scie qu'Ivan tenait de la main droite ?
Puis les 5 se mirent à plasmodier :
-Askrt porklest osor Vohogs ! Blorm porklest Kor'noths e mkarsth porklest Nur'noths ! Grast porklest Slar'noths e morn porklest Tzann'noths ! Askrt porklest Vohogs !

La scie s'abbatit

C'est marrant, il y a une Léa dans ma classe... En tout cas, il faudrait qu'on le fasse un jour...

Citation :

Peuh ! t'as écrit drakkar !!!
Ca me déçoit venant de toi, Ivan

On appelle ça de la vulgarisation. Je ne voulais pas prendre le risque que des ignares ne comprennent pas (au cas où il y en ait)...