Nouvelle : "mémoires d'un hérétique"

Mémoires d'un hérétique

Voici le début d'une nouvelle que j'écris actuellement, et qui raconte comment un Inquisiteur va finir par se vouer aux dieux du chaos...



Il faisait froid. Ou plutôt il faisait froid pour le citoyen moyen de l’Imperium. En effet, je n’étais pas du genre frileux. Je me trouvais sur Polaris Prime pour élucider une affaire de meurtre de noble impérial. En tant qu’Inquisiteur, j’avais l’habitude de ce genre de routine. Mais cette affaire-là ne m’inspirait pas. Elle ne m’inspirait pas du tout. Tout d’abord, ce haut fonctionnaire, qui était le bras droit du Gouverneur planétaire, avait été assassiné. On l’avait su car sa tête avait été retrouvée empalée sur une pique à l’entrée du Palais du Gouverneur. Mais le reste du corps n’avait pas été retrouvé. Alors, l’Inquisition m’avait confiée la mission de trouver le meurtrier, de le châtier, puis de ramener le corps de la victime, si il était encore en état d’être transporté. Plusieurs mois plus tard, je n’avais trouvé pour seul indice que le nom d’un homme qui avait longtemps connu la victime avant de s’exiler pour des raisons inconnues. Après de longues recherches, j’avais réussi à localiser l’homme et ce jour-là, je m’apprêtais à lui rendre visite. Toutes ces recherches avaient pris du temps, c’est pourquoi nous étions en plein hiver. Et l’hiver sur Polaris Prime faisait descendre la température jusqu’à –200°C. Mais ça ne risquait pas d’entamer mon enthousiasme. Après de longs mois passés dans des archives poussiéreuses, je m’activais enfin. J’aperçu rapidement la fameuse demeure, et je m’en approchai. J’étais accompagné des deux fidèles membres de ma suite : Drain, un ancien Arbites, toujours équipé de son fusil à pompe, et Klaera, une guerrière de Kanaka, armée d’une sorte d’eviscerator de sa conception, qu’elle maniait certes avec brutalité, mais efficaacité. Pour ma part, j’étais Psyker de niveau Delta plus, et je maniais une lame de force gravée de diverses runes. Mais maintenant, il était temps de passer à l'action.
J’ordonnai d’une voix forte aux occupants de la maison de nous ouvrir. Presque aussitôt, un vieil homme en sortit. Il s’énerva, prenant un ton supérieur :
« -- Qui êtes-vous pour me donner des ordres, et pour venir ainsi armés jusque chez moi, misérables étrangers ? »
Je lui montrai mon insigne inquisitorial. Il devint subitement livide. Je lui répondis.
« -- Je suis l’Inquisiteur Holter de l’Ordo Hereticus, et ils sont les membres de ma suite.
-- Veuillez m’excuser, maître… Je n’apprécie guère les visites des gens ordinaires, mais vous… Soyez le bienvenu.
-- Merci. Je vais aller droit au but. Que savez-vous sur Travior, le bras droit du Gouverneur de ce monde ? »
Une lueur changea dans le regard de l’homme.
« -- Je ne vous le dirais pas. Travior méritait la mort, c’est tout. Mais si vous êtes à la recherche de son meurtrier, alors vous mourrez aussi. Il m’en sera reconnaissant. »
L’homme tira d’un holster qu’il cachait sous sa tunique un pistolet automatique, mais je fus le plus rapide. Avant qu’il n’ait eu le temps de tirer, j’avais déjà tiré ma lame et lui avait tranché la tête. Ce ne fut que quelques instants plus tard que je réalisai ou j’étais. En tombant, l’homme dont le sang se répandait sur le sol à présent avait du activer une commande cachée, et une trappe s’était ouverte. En sortait une détestable sensation d’horreur. Je n’avais pas le choix. Je pénétrai dans l’ouverture, suivi par mes compagnons. La salle dans laquelle j’arrivai était noire. Psychiquement, je créai une douce lueur pour nous éclairer. Nous étions dans une sorte de chapelle, dont les murs étaient… Je m’arrêtai, horrifié. Les murs étaient tapissés de crânes, tous peints avec du sang. Je n’osais même pas imaginer le nombre de ceux qui reposaient désormais ici. C’était, sans aucun doute, un temple du Chaos.


Merci de m'avoir lu, suite à venir...

pourquoi ça s'appelle mémoires d'un hérétique alors que c'est un un inquisiteur ?

La réponse viendra en son temps. Mais chuuuuuut ! c'est un secret !

Il y a un truc que je trouve bizarre dans ton texte :

Citation :

... Pour ma part, j’étais Psyker de niveau Delta plus, et je maniais une lame de force gravée de diverses runes. Un instant plus tard, nos regards se croisèrent.

Tu introduis un "un instant plus tard" juste après un passage descriptif. Du coup, quand on est bien dedans, on se demande "de quelle instant il prale, là ?" et ça casse tout. De plus, "un instant plus tard" n'est pas indispensable

continuons sur la lancée du gas qui y connait rien...
mais pourquoi donc un inquisiteur se vouerait-il aux forces du chaos ?
point de vue chaotique :
parske c'est un bon gas !!

Citation :

La réponse viendra en son temps. Mais chuuuuuut ! c'est un secret ! Very Happy

Il y a un truc que je trouve bizarre dans ton texte :

"... Pour ma part, j’étais Psyker de niveau Delta plus, et je maniais une lame de force gravée de diverses runes. Un instant plus tard, nos regards se croisèrent."


Tu introduis un "un instant plus tard" juste après un passage descriptif. Du coup, quand on est bien dedans, on se demande "de quelle instant il prale, là ?" et ça casse tout. De plus, "un instant plus tard" n'est pas indispensable

J'ai modifié ça !

J'aime bien !
J'ai hâte de lire la suite !

bon, elle vient la suite, qu'on voit ce petit puritains se faire chaotiser

Elle est en cours de préparation, et je la posterais bientôt...

Et voilà, c'est fini !
Je poste ici la nouvelle dans sa totalité, afin de vous remettre dans le contexte.

Il faisait froid. Ou plutôt il faisait froid pour le citoyen moyen de l’Imperium. En effet, je n’étais pas du genre frileux. Je me trouvais sur Polaris Prime pour élucider une affaire de meurtre de noble impérial. En tant qu’Inquisiteur, j’avais l’habitude de ce genre de routine. Mais cette affaire-là ne m’inspirait pas. Elle ne m’inspirait pas du tout. Tout d’abord, ce haut fonctionnaire, qui était le bras droit du Gouverneur planétaire, avait été assassiné. On l’avait su car sa tête avait été retrouvée empalée sur une pique à l’entrée du Palais du Gouverneur. Mais le reste du corps n’avait pas été retrouvé. Alors, l’Inquisition m’avait confiée la mission de trouver le meurtrier, de le châtier, puis de ramener le corps de la victime, si il était encore en état d’être transporté. Plusieurs mois plus tard, je n’avais trouvé pour seul indice que le nom d’un homme qui avait longtemps connu la victime avant de s’exiler pour des raisons inconnues. Après de longues recherches, j’avais réussi à localiser l’homme et ce jour-là, je m’apprêtais à lui rendre visite. Toutes ces recherches avaient pris du temps, c’est pourquoi nous étions en plein hiver. Et l’hiver sur Polaris Prime faisait descendre la température jusqu’à –200°C. Mais ça ne risquait pas d’entamer mon enthousiasme. Après de longs mois passés dans des archives poussiéreuses, je m’activais enfin. J’aperçu rapidement la fameuse demeure, et je m’en approchai. J’étais accompagné des deux fidèles membres de ma suite : Drain, un ancien Arbites, toujours équipé de son fusil à pompe, et Klaera, une guerrière de Kanaka, armée d’une sorte d’eviscerator de sa conception, qu’elle maniait certes avec brutalité, mais efficacité. Pour ma part, j’étais Psyker de niveau Delta plus, et je maniais une lame de force gravée de diverses runes, ainsi que d’une dague que je possédais depuis fort longtemps. Mais maintenant, il était temps de passer à l'action.
J’ordonnai d’une voix forte aux occupants de la maison de nous ouvrir. Presque aussitôt, un vieil homme en sortit. Il s’énerva, prenant un ton supérieur :
« -- Qui êtes-vous pour me donner des ordres, et pour venir ainsi armés jusque chez moi, misérables étrangers ? »
Je lui montrai mon insigne inquisitorial. Il devint subitement livide. Je lui répondis.
« -- Je suis l’Inquisiteur Holter de l’Ordo Hereticus, et ils sont les membres de ma suite.
-- Veuillez m’excuser, maître… Je n’apprécie guère les visites des gens ordinaires, mais vous… Soyez le bienvenu.
-- Merci. Je vais aller droit au but. Que savez-vous sur Travior, le bras droit du Gouverneur de ce monde ? »
Une lueur changea dans le regard de l’homme.
« -- Je ne vous le dirais pas. Travior méritait la mort, c’est tout. Mais si vous êtes à la recherche de son meurtrier, alors vous mourrez aussi. Il m’en sera reconnaissant. »
L’homme tira d’un holster qu’il cachait sous sa tunique un pistolet automatique, mais je fus le plus rapide. Avant qu’il n’ait eu le temps de tirer, j’avais déjà tiré ma lame et lui avait tranché la tête. Ce ne fut que quelques instants plus tard que je réalisai ou j’étais. En tombant, l’homme dont le sang se répandait sur le sol à présent avait du activer une commande cachée, et une trappe s’était ouverte. En sortait une détestable sensation d’horreur. Je n’avais pas le choix. Je pénétrai dans l’ouverture, suivi par mes compagnons. La salle dans laquelle j’arrivai était noire. Psychiquement, je créai une douce lueur pour nous éclairer. Nous étions dans une sorte de chapelle, dont les murs étaient… Je m’arrêtai, horrifié. Les murs étaient tapissés de crânes, tous peints avec du sang. Je n’osais même pas imaginer le nombre de ceux qui reposaient désormais ici. C’était, sans aucun doute, un temple du Chaos.

Je fus aussitôt envahi d’une sorte de vent glacé, qui s’engouffra jusque dans mon esprit. Mes pensées dérivèrent un moment, avant que je n’entende un cri, qui me réveilla brutalement. C’était Klaera qui avait hurlé, et elle gisait désormais dans une mare de sang, sa poitrine ouverte dans une plaie béante. Mon camarade Drain était devenu livide, et il avait armé son fusil. Je ressentis de nouveau le vent glacial. Cette fois-ci, je résistai, tant et si bien que je pus riposter quand la chose repassa à l’attaque. Drain n’eut pas cette chance. Une sorte de griffe lui transperça le front, et aussitôt sa tête se liquéfia au contact de la créature. Pour ma part, je lançai une puissante attaque psychique à notre assaillant. Cela n’eut pour effet que d’attirer son attention, et lorsqu’il chargea, je n’eus d’autre choix que de dégainer mon arme runique. Il vint s’empaler sur la lame dans son élan, et son torse pris feu sur-le-champ, ce qui me permit de l’apercevoir en détail un court instant. Il était difforme, mais son corps rouge sang évoquait vaguement un reptile, un reptile qui eût été bipède. Ses mains étaient ornées de longues griffes, et son front cornu était gravé d’un symbole, évoquant vaguement un crâne. Un nom qui devait être celui de la bête s’insinua dans mon esprit, mais il était si obscène que je m’efforçai de l’oublier. A ce moment, le démon –car vous l’aurez compris, c’en était un– disparut dans une explosion flamboyante, qui m’aveugla pendant quelques secondes. Une fois cette violente lumière dissipée, je pus étudier les options qui s’offraient à moi. Je pouvais ressortir pour alerter les autorités locales, et lancer l’alerte. L’Arbites ou autres forces de défense planétaire se chargeraient de sécuriser la zone, en attendant l’arrivée de troupes d’élite de l’Inquisition, qui purgeraient définitivement cet endroit maudit. Ou bien, je pouvais aussi m’engouffrer plus loin dans ce temple, en empruntant le couloir qui se dressait devant moi. Je choisi la seconde option. L’Imperium est une implacable machine, mais terriblement lente, et j’étais impatient. Il me semble, à l’heure où j’écris ces lignes, que le fait de m’abandonner à mon orgueil fut mon premier pas vers l’hérésie, et ce seul pas me condamna.

J’avançai, donc, et pénétrai dans le couloir. Il y régnait une répugnante odeur de cadavre et de sang caillé, qui aurait dû m’être insupportable, mais je réalisai avec horreur que je commençais à y prendre goût. Pire encore, je l’appréciais véritablement, et elle faisait naître en moi un sentiment que je n’avais jamais ressenti auparavant. Il y avait comme un creux en moi, qui ne demandait qu’à être comblé. C’était une sorte de soif, en vérité. Une soif de sang. Le couloir vira à droite.

Plus j’avançais, plus je souhaitais arriver au cœur du temple, auquel menait sans doute le couloir dans lequel je marchais. Non, je ne marchais pas. Je courais.

Je m’éveillai, dans un recoin sombre du couloir. Je ne savais pourquoi j’avais dormi, mais mon crâne me faisais souffrir atrocement. Mon crâne. Ce mot résonnais en moi désormais, et me faisait vibrer et saliver. Je dégainai ma dague, et la plantai dans mon bras, en gravant une sorte de crâne. Le même que celui du démon. Je bus le sang.

Cela faisait longtemps que j’étais dans ce temple. Je ne savais combien de temps. J’avais seulement conscience de ma faim, et pire encore, de ma soif. Si quelqu’un avait été à ma portée, je lui aurais sauté à la gorge, et aurais eu l’extase de déchiqueter ses jugulaires avec ma mâchoire, jusqu’à ce que cessent les pulsations. C’est alors que je la sentis. L’odeur humaine. Je la reconnus instantanément. Elle était mêlée à d’autres senteurs, comme celle du sang caillé et de la sueur. Je compris qu’un cultiste avait pénétré dans le temple. La traque commença.

La rage s’était emparée de moi. Je ne parvenais pas à atteindre ce cultiste qui m’échappait toujours. Mais cela devait prendre fin. Je venais de le rattraper. Lorsqu’il m’aperçut, il m’adressa un sourire dément, révélant des dents taillées en pointe. Il dégaina une hache tronçonneuse et la mit en marche. Les dents d’airain vibrèrent de plus en plus rapidement, jusqu’à émettre un sifflement aigu. Le cultiste commença à s’approcher de moi, tout en effectuant des passes avec sa hache. Mais je fus le plus rapide. Je me jetai sur lui, esquivai ses coups, puis le mordit à la gorge. Ma mâchoire claquait nerveusement, sectionnant à chaque fois veines et artères. Son sang bouillonnant coulait dans ma gorge, et je l’avalais goulûment. Son corps s’effondra finalement, et sa hache tomba au sol, continuant toujours de tournoyer furieusement, dans le vide. J’ignorai ce détail, et me penchai sur le cadavre. J’en arrachai la peau, et me régalai de ses chairs sanglantes. Puis je revêtis ce cuir, comme une cape. Après cela, je partis, poursuivant ma quête du cœur de ce temple. La hache tournait toujours.

Il me semblait que cela faisait déjà longtemps que j’avais tué le cultiste, bien qu’il ne se soit écoulé que quelques heures. Mais je n’avais toujours envie que de sang et de carnages. Soudain, une sorte de lueur m’extirpa de ces rêveries. Mon cœur battait la chamade, mais je n’y faisait plus attention, car c’était le cas depuis ce qui me paraissait des jours. Je m’approchai de la lueur, et m’aperçus qu’elle provenait d’une pièce entrouverte devant moi. En fait, il n’y avait même plus de porte. Ses restes en fer forgé gisaient à mes pieds. J’entrai dans la pièce, et je découvris le plus grand rassemblement de crânes que je n’avais jamais vu. Des centaines, non, des milliers de crânes étaient entassés au-dessus d’un océan de sang coagulé. Mais malgré cela, tout ce sang semblait couler, et circuler comme une sorte de tourbillon bouillonnant. Et au sommet de cette montagne, il y avait une sorte de flamme rougeâtre qui illuminait toute la salle. J’escaladai les crânes, et m’approchai de la flamme, et me rendit compte qu’elle ne brûlait pas, bien qu’elle crépitasse d’énergie. Poussant ma folie jusqu’au bout, je me jetai dans la flamme.

Ténèbres. Lumières obscures. Folie. Visages démoniaques. Démoniaques. Chaînes. Douleur. Feu. Sang. Du sang. Tuer. Des crânes. Tuer. Boire le sang. Se repaître de la chair. Tuer. Un nom. Khorne.

Je m’éveillai. Il faisait froid. De la neige. Mais je ne suis pas du genre frileux. Je ne savais pas où j’étais. Ma tête, me semblait-il, allait s’embraser. C’est à ce moment-là que je décidai de me remémorer les événements qui m’avaient menés jusque-là. Et je me les remémorai.

Me voilà donc, assis dans la neige, envahi par un terrible mal de crâne. Crâne. Tiens, c’est étrange, ce mot me paraît familier. Mais il ne me fait pas vibrer comme il le faisait auparavant. Je pense soudain à quelque chose. Je suis toujours habillé de ma cape en peau humaine, et couvert de sang, le mien et celui d’un cultiste. Mes scarifications sont toujours présentes. Etrangement, elles sont presque déjà cicatrisées, et ne me font pas mal. Je me sens souillé. Une marque du chaos. Voilà ce que je me suis gravé. Ce temple de Khorne a donc un terrible pouvoir. Quiconque y entre est irrémédiablement corrompu. Etrangement, je ne regrette pas d’y avoir pénétré. Une voix glisse dans ma tête que tel devait être mon destin. Je teste soudain une lance psychique, ayant une pensée subite. Rien, excepté une terrible douleur dans mon crâne. J’ai donc définitivement troqué mon rôle d’Inquisiteur contre celui d’homme corrompu. Et cette flamme rouge. C’était un portail. Il m’a offert un trajet pour la sortie, en échange de mon âme psychique, qu’il a consumé. J’ai soudain la conviction d’être devenu intouchable. Mais une terrible idée me prend subitement. Et si les pensées que j’ai actuellement n’étaient que l’écho de mon âme, consumée lentement par le Warp ? Et si le fait que je puisse employer mon esprit un instant, n’était dû qu’au décalage entre la chronologie Warp et le temps de notre univers ? A ma grande horreur, cette idée se confirme. Lentement, mes pensées disparaissent. La dernière chose qui me traverse l’esprit est un regret. Celui d’avoir été trop faible pour affronter ce destin. Celui de n’avoir pas pu tuer. Tuer pour Khorne.
***
« ￚ Inquisiteur ? Je viens de trouver quelque chose. Mais par l’Empereur, qu’est-ce que ça peut être ? On dirait… un homme.
ￚ Je crois qu’on l’a trouvé, Interrogateur. Nous avons retrouvé l’Inquisiteur Holter. »

***
« ￚ Alors ?
ￚ Nous sommes formels, Inquisiteur. L’autopsie a confirmé nos doutes. Après avoir pénétré dans ce temple, l’Inquisiteur Holter a succombé aux attraits du Chaos. Il semblerait qu’il se soit gravé des symboles maléfiques en différents endroits du corps –torse, bras gauche, tête– au cours de diverses scarifications rituelles et qu’il ait tué un autre cultiste d’une manière particulièrement sanglante –nous avons retrouvé la peau d’un autre homme sur les épaules du sujet, ainsi que son sang un peu partout sur le torse d’Holter et des traces de sa chair dans l’estomac de l’hérétique. Enfin, il semblerait qu’il ait succombé à une crise de folie. Lorsque nous avons examiné son cadavre, nous avons remarqué qu’il est mort en essayant de se dévorer les bras.
ￚ Parfait. Classez donc cette affaire. Pendant ce temps, je vais aller faire moi-même un tour dans ce temple… Je verrais bien ce qui s’y passe. »



Merci d'avoir tout lu !
A vos commentaires.

deux pour resumer

VIVE KHORNE
la fin est bien car un autre inquisiteur va être corrompu ou l'est déjà si j'ai mal compris

Niark...
Corrompu...

tu te sens étrange après lecture.

Etrange n'est pas le mot (sauf pour un tzeentcha, je le conçois). Je dirais plutôt... niark .

Oui, je connais ce sentiment, je suis souvent niark . Le texte est super, avec de bons effets (j'ai particulièrement aimé ce passage :

Citation :

Ténèbres. Lumières obscures. Folie. Visages démoniaques. Démoniaques. Chaînes. Douleur. Feu. Sang. Du sang. Tuer. Des crânes. Tuer. Boire le sang. Se repaître de la chair. Tuer. Un nom. Khorne.

)
A la fin je me suis sentit tout niark ! Nul ne peut se protéger du chaos ! Pas même le dieu-cadavre, qui à défaut de se faire corrompre mentalement, se fera bientôt corrompre physiquement !

Niark.
Mais le dieu-cadavre est déjà corrompu, il a une tronche de zombie... Dommage que ce soit grand-père nurgle qui l'ai pris sous sa tutelle... Remarque, entre papys, c'est normal...

il est impossible de résister au warp et surtout une fois qu'il sera corrompu se sera la fin de l'humanité et une magnifique ère de chaos et de sang pour l'humanité qui se disloquera du faite de l'impossibilité de voyager dans le warp ou seulement sur de courte distance (déjà élevé)

Avant même d'être paralysée par les voyages spatiaux, elle s'entre-déchirera, comme durant l'ère des luttes. Sauf que cette fois-ci ce sera fini, c'est pourquoi on appelle cette ère la fin des temps.

j'espère que ça finira avec le chaos sur terra et abaddon en prince démon surpuissant sur le trône d'or

Abaddon sur le trône d'or ?
Mais c'est la honte ce truc !
Non, il fracassera Terra avec le tueur de planètes...

ça sera symbolique, pour dire qu'il c'est emparé du pouvoir et que l'humanité sera corrompu et surtout ça m'étonnerait qu'il détruise terra car ça serai trop facile et lâche

Terra sert à rien... C'est pour ça que j'y ai fait un exterminatus...
(véridique, demande au gueux ou à hémosse)

tu peux me renseigner sur le sujet j'ai envi de connaitre les detail.

pour ça, y faut scanner les BD et les poster, toute une affaire !
je confirme...

Et il faudrait malheureusement les ré-éditer
....
...
..
.
Bouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !!!


Sinon, pour retourner au sujet, il faudrait qu'Ivan fasse une suite, ou on peut cloturer.
Pour l'Inquisiteur Ivan, faites un nouveau sujet.

Je clôture le sujet.
MP-moi si vous avez un message important à y poster.